rêver de parler avec le président de la république
Ila soutenu que « Macky Sall vient d’offenser la République, le peuple sénégalais en recevant un insulteur du Président de la République, des ministres, de l’armée, des forces de
LePrésident de la République, arbitre du régime Le président de la République ne saurait être confondu avec aucune fraction. Il doit être l'homme de la nation tout entière, exprimer et servir le seul intérêt national. C'est ainsi que Charles de Gaulle définissait le statut suprême du chef de l'état. Nous comprenons par là même
Autitre de la présidence du Conseil de l'Union européenne et comme Président de la République française, je veillerai moi aussi à ce que cet exercice ne reste pas un exercice de style ou un exemple de méthode, simplement, mais qu'il débouche bel et bien sur des travaux pratiques, des évolutions fortes et concrètes et que les citoyens d'Europe puissent en cueillir
Enfin depuis la révision constitutionnelle du 23 février 2007, en cas de poursuite du président de la République pour "manquement à ses
Rêverde parler à une personne avec laquelle vous êtes en mauvais termes, vous êtes menacés d'une querelle dans votre maison, à vous de savoir garder votre bonne humeur. Le rêve de parler aux oiseaux, prédit selon la tradition une grande richesse spirituelle. Faire le rêve de parler à un cheval, prédit un bel amour et la fidélité.
Site De Rencontre Les Femmes Choisissent. Au tout début de son premier mandat, le président de la République Emmanuel Macron rompait avec la tradition de l’interview du 14 juillet. L’explication donnée alors par l’Élysée était que la pensée complexe du président se prêterait mal à l’exercice ». Exercice de parler simplement avec les médias – et donc avec le peuple français puisque l’entretien a une vocation publique. En ce début de deuxième mandat, le président réélu affirme que le résultat des présidentielles, qui a vu la candidate du Rassemblement national obtenir 42 % des voix et l’abstention atteindre son plus haut niveau depuis 50 ans, l’ oblige ». Il l’oblige sur le fond du respect des différences qui se sont exprimées ces dernières semaines ». Sur le fond du silence » de celles et ceux qui n’ ont pas voulu choisir ». Sur le fond de celles et ceux qui ont voté pour Madame Le Pen ». Sur cela, Macron précise que la colère et les désaccords de ceux qui ont voté pour ce projet celui du Rassemblement national doivent aussi trouver une réponse ». Emmanuel Macron veut décidément œuvrer à cette unité par laquelle seule, nous pourrons être plus heureux en France ». Le ton est ici autrement différent de ce qu’il a été en juin et juillet 2017. Si l’on en croit notre président, il serait désormais décidé à considérer celles et ceux qui ne lui ont pas fait confiance. Si donc le quinquennat qui vient est appelé à être celui de l’invention collective d’une méthode refondée … au service de notre pays, de notre jeunesse » qui a peu voté pour lui mais au milieu de laquelle il s’est affiché juste après sa victoire, c’est aussi avec celles et ceux qui ne se reconnaissent pas dans son projet ou sa politique que cela doit avoir lieu. Ce vote m’oblige », discours d’Emmanuel Macron au soir de sa réélection, le dimanche 24 avril AFP. Si l’on prend le président au mot, c’est donc dans la contradiction qu’expriment les différences qu’il compte gouverner quand même » avec les oppositions politiques. Si le quinquennat précédent avait parfois montré un gouvernement qui n’était pas celui de tous les Français, mais exclusivement celui des nantis, nous ne serions donc plus désormais cette continuité. Au contraire. Si ce que le nouveau président de la République affirme ici est vrai, alors on est mieux parti qu’en 2017 en termes de pensée complexe ». Non seulement pour des raisons de méthode, mais aussi pour des raisons de fond. Capacité d’écoute Nous vivons dans un monde indéniablement complexe, et qui l’a d’ailleurs toujours été la notion de complexité renvoie, ne serait-ce qu’indirectement, à la vie humaine qui est irréductiblement une vie collective, une vie politique ». Comme disaient les Anciens, nous sommes des animaux politiques ». Un monde complexe est fait d’incertitude – on ne sait pas à l’avance ce qu’il en est de l’avenir, qui peut toujours être fait du pire, mais aussi du meilleur. Et cela dépend beaucoup de nous. Un monde complexe est contradictoire y évoluer harmonieusement demande d’écouter les contradictions sans automatiquement tenter de les réduire. Un monde complexe est fait de plusieurs couches dont certaines sont encore invisibles mais déjà bien réelles, comme une saison qui se prépare sous » la précédente. Et cela ne se signale qu’au travers de signaux faibles que n’importe qui est susceptible de percevoir. Ce ne sont pas les compétences déjà en route, les expertises confirmées qui permettent d’identifier les signaux faibles. Mais une capacité fondamentale d’écoute du monde, de soi-même et des autres. Au soir de réélection, Emmanuel Macron arrive au champ de Mars à Paris en compagnie de son épouse Brigitte Macron et entouré de jeunes. Bertrand Guay/AFP Cependant, la complexité fait peur. Elle dérange par ses contradictions. Elle demande de la patience et de la fraîcheur de regard pour discerner les signaux faibles. Or, pris au jour le jour de nos vies, nous avons un besoin essentiel de simplicité. Sans simplicité, nous ne pourrions pas vivre. Un monde simple serait tout simplement dans l’idéal l’exact contraire d’un monde complexe. Un monde que l’on a sous contrôle, un monde cohérent, immédiatement visible ou transparent. Et où nos compétences sont directement et évidemment applicables. Notre besoin de simplicité est à la fois irréductible, vital, légitime, et fondamentalement vulnérable à son excès qu’est le simplisme. Le simplisme, c’est la présupposition que le monde pourrait n’être que simple. Que l’on pourrait en éradiquer la complexité. Rêver d’éradiquer la complexité du monde passe par des solutions » à la complexité qui veulent faire comme si celle-ci n’existait pas. C’est le côté rassurant de tout leader lorsqu’elle ou il affirme disposer des solutions qui vont nous sortir de la crise. Cela fait évidemment rêver. Mais le rêve devient délétère, voire dangereux, lorsqu’il se complète de l’identification de celles et ceux à cause de qui » le monde est complexe. De l’identification des boucs émissaires de nos attentes et de nos angoisses. Notre besoin de simplicité n’a cependant pas le monopole de la vulnérabilité à basculer dans l’excès. À trop insister sur la complexité du monde, en perdant de vue le besoin de celles et ceux qui souffrent dans un monde dont ils n’ont pas les clefs, l’on peut finir par s’y complaire, et en s’en apercevant ou non. Et l’on perd de vue alors la véritable complexité. La véritable complexité tient au fait que le monde est à la fois fait de complexité, et de notre besoin humain, fondamental, de simplicité. C’est cela la vraie complexité. Et elle requiert une véritable écoute. Les dérives de Jupiter La raison principale pour laquelle, si notre président réélu dit vrai, la politique du quinquennat à venir a de quoi nous faire espérer, est qu’en affirmant accorder toute leur place à celles et ceux qui ne lui ont pourtant pas fait confiance, Emmanuel Macron affirme qu’il va attentivement à la fois écouter le besoin de simplicité qui s’est exprimé lors des élections présidentielles, et mener la politique de changement que requiert la complexité du monde où nous vivons. Lors de son premier mandat, s’étant voulu un président jupitérien », Emmanuel Macron endossait le rôle du chef qui prend en charge la paix et la sécurité de la Cité – celui non seulement qui apporte les solutions aux problèmes complexes du monde, mais qui incarne ces solutions. C’était là de manière problématique, réduire la complexité en s’en voulant l’unique solution. Au contraire maintenant, vouloir l’invention collective d’une méthode refondée » semble significativement plus humble. Humble devant la difficulté objective de tout exercice du pouvoir. Humble devant les crises qui s’imposent les unes après les autres. Humble devant le peu de confiance qu’a alimenté sur bien des points le quinquennat précédent, et qui s’est soldé par les élections présidentielles dont nous sortons. Le président sortant, entamant son nouveau mandat, se dit donc être décidé à écouter ce qui se tient dans l’ombre. À écouter celles et ceux qui ont peur, celles et ceux qui sont en colère, celles et ceux qui souffrent d’un monde en lequel ils ne se reconnaissent pas. Or le président Macron représente tout autant si ce n’est significativement plus le monde de l’économie et de la finance, le monde des nantis indifférents au sort des pauvres. Le monde brillant de celles et ceux qui tiennent les manettes du pouvoir. Jamais soleil ne voit l’ombre », Léonard de Vinci. Wellcome Collection, CC BY-SA Il est significatif que l’on dise, lorsque l’on admire quelqu’un, qu’il ou elle est brillant » ou brillante ». Un tel compliment qui se veut le plus souvent un très grand compliment est en fait fondamentalement ambigu. Car le risque de toute personne brillante » est précisément de manquer d’écoute. De manquer de la capacité à tendre l’oreille aux autres, au monde, voire à soi-même. De ne plus faire que briller ». Et lorsque l’on ne fait plus que briller, c’est là que l’on devient dangereux, car on ne voit plus rien. On ne voit plus les autres, on ne voit plus le monde. On ne voit que ce que l’on projette sur le monde. Car comme le dit Léonard de Vinci, jamais soleil ne voit l’ombre ». Il est à espérer que le dirigeant jupitérien qu’avait voulu être le président sortant fasse effectivement place à un soleil capable d’atténuer sa brillance » pour se mettre comme il dit le souhaiter, à l’écoute de celles et ceux qui sont dans l’ombre. C’est indispensable pour l’avenir de notre pays et de ses habitants. Lorsqu’il était encore ministre de l’Économie et des Finances lors de la présidence de François Hollande, Emmanuel Macron identifiait trois maux bien français la défiance, la complexité à l’époque, celle des administrations, et le corporatisme. Maintenant que les cartes ont été rebattues, faisons avec le nouveau président le pari de la confiance, de la simplification des choses, et de l’ouverture à celles et ceux qui sont différents de nous.
Rêver de président ne signifie pas, en général, quelque chose lié à la personne qui est apparue dans le rêve en question. Habituellement, ces situations parlent davantage de la situation intérieure du rêveur. Par conséquent, les rêves impliquant des présidents ou le poste de président ont une charge énergétique très liée aux questions d'autorité. Ce thème peut indiquer n'importe quoi, d'un sentiment de manque de contrôle sur sa propre vie, jusqu'à une angoisse liée à une situation d'oppression extérieure. Donc, si vous avez rêvé d'un président, vous êtes au bon endroit. Dans cet article, nous vous présenterons d'innombrables types de rêves impliquant ces figures d'autorité, la présidence elle-même et les personnes puissantes qui entourent ce poste. Rêver que vous êtes président Rêver que vous êtes le président d'un pays ou d'une entreprise, par exemple, a une signification très directe. Si vous rêviez d'être cette figure d'autorité, cela signifie que votre estime de vous-même est bonne et que vous avez une grande confiance en votre potentiel. De cette façon, il n'y a pas de peurs ou d'inquiétudes intérieures pour le moment. Le conseil est de préserver ces sentiments et d'investir toutes vos forces dans les domaines de votre vie où vous êtes le plus autonome. Ce moment, entouré de toute cette force intérieure, est propice pour s'investir dans vos projets, qui ont tout à concrétiser. Rêver de rencontrer le président Rencontrez un président dans un rêve indique que l'individu qui a rêvé a de nombreux désirs liés au domaine professionnel, avant tout. Si vous rêviez de rencontrer un président en personne, vous voulez être respecté et reconnu par les gens qui vous entourent. Être traité avec respect et distinction sont nos principaux objectifs. De cette façon, votre objectif peut être de devenir le patron ou de gravir les échelons de l'entreprise pour laquelle vous travaillez. Rêver que l'on rencontre le président traduit un sentiment intérieur. Pour ceux qui se sentent comme nous l'avons décrit ci-dessus, le conseil est simple construisez le chemin pour être reconnu et respecté, tant sur le plan professionnel que personnel. De cette façon, vous pouvez arriver là où vous voulez être. Rêver que vous parlez au président Les rêves dans lesquels vous vous voyez discuter amicalement avec un président ont des significations très favorables, notamment du point de vue des réalisations personnelles et professionnelles. Alors si vous étiez dans cette situation, soyez à l'affût des opportunités qui vous aideront à atteindre vos objectifs. Les personnes qui ont le pouvoir de vous aider dans ces domaines se présenteront avec le soutien nécessaire. Cette nouvelle situation sera bonne pour vous et vos proches. Mais faites attention, car rêver que vous parlez au président indique également que les prochaines réalisations passeront par la diplomatie et la capacité à établir une relation avec la bonne posture. Soyez donc toujours amical avec les gens. Rêver d'être à la fête du président Rêver que vous êtes à la fête du président signifie que vous vivez ou que vous allez bientôt traverser une situation précise, mais que vous saurez très bien la gérer, réussir. La partie liée à la figure d'autorité indique que les expériences que vous avez acquises au fil des années et des situations passées vous ont renforcé pour de nouveaux défis. Ainsi, avec la certitude que vous saurez faire face aux défis du présent et de l'avenir, pratiquez toujours la sérénité et la sagesse, en analysant vos relations personnelles et professionnelles. C'est la clé de votre succès. Rêver que vous embrassez le président Les rêves dans lesquels on se voit embrasser le président sont une manière d'indiquer un sentiment d'intimité très fort avec une autorité proche. Pour le ramener à une situation plus pratique, en rêvant que vous embrassez le président, vous vous rapprochez du leadership. Par exemple, vous pouvez croire que vous êtes au-dessus du niveau de votre patron ou du chef de votre département au travail. Les implications de ce type de rêve sont de type pratiques. Donc, si vous rêviez d'embrasser un président, soyez vigilant. Ne dépassez pas votre espace et restez dans votre carré. Respectez la hiérarchie et l'autorité sur vous, ainsi vous gagnerez plus d'avantages. Rêver que vous vous battez avec le président Si vous rêviez de vous battre avec un président, il y a probablement un très gros conflit interne dans votre vie. Les objectifs personnels et les désirs sont en conflit et l'indécision s'est installée. C'est parce que vous ne pouvez pas décider quoi faire. Les conflits que représente ce type de rêve sont également présents dans la vie réelle du rêveur. De cette façon, on peut se retrouver dans une famille déstabilisée, où les conflits entre parents et enfants, grands-parents ou petits-enfants sont constants. Dans tous les cas, que ce soit pour résoudre des conflits internes ou externes, il est important de garder son calme. Rêver que vous vous battez avec le président est un signe que vous devez vous détendre et vous vider la tête afin de tout mettre en ordre. Rêver de tuer le président Rêver que l'on tue le président est un indice très fort d'épuisement psychologique, au regard d'abus subis dans le présent ou dans le passé. Ceux qui rêvent d'assassiner cette figure d'autorité ont généralement subi ou souffrent beaucoup de pressions et d'exigences excessives de la part d'autres personnes. Que ce soit dans la famille, au travail ou ailleurs, ces pressions doivent cesser. Donc, si vous rêviez de tuer un président et que vous traversiez une situation qui vous submergeait, même s'il ne s'agissait que d'un traumatisme, certaines séances de thérapie sont importantes pour votre guérison. Essayez d'utiliser cela à votre avantage. Rêver d'un ancien président Les rêves d'anciens présidents indiquent que vous essayez de vous sortir d'une situation qui vous étouffe. Celle-ci est liée à l'apparition d'un élément du passé venu chambouler votre vie au présent. Ainsi, lorsque vous rêvez d'un ancien président, identifiez cet ancien facteur qui est apparu de nulle part et éliminez-le immédiatement. Revenir dans le passé ne fera qu'entraver votre progression, que ce soit par stagnation ou par peur de l'avenir. Rêver du président d'un autre pays Un président étranger apparaissant dans un rêve indique que vous ne vous sentez pas à votre place d'une manière ou d'une autre. Il est presque certain que vous avez des doutes sur le partenaire avec qui vous êtes en relation affective ou sur votre emploi actuel. Par conséquent, lorsque vous rêvez d'un président d'un autre pays, analysez vos relations affectives et professionnelles, pour vous assurer que vous êtes au bon endroit. Il y a de fortes chances que vous ne vous sentiez pas à votre place à ce lieu de travail ou avec cette personne avec qui vous sortez, par exemple. Rêver du président d'une entreprise Rêver du président d'une entreprise indique l'arrivée de troubles dans votre vie. L'insatisfaction vis-à-vis de la situation financière, de la position professionnelle ou de la relation amoureuse sont quelques possibilités. Si le président d'une entité privée apparaît dans votre rêve, soyez conscient de vos émotions. Comptez sur votre famille et vos amis en qui vous avez confiance pour vous défouler. Essayer d'oublier sa fierté et faire ce qui doit être fait est aussi une mission importante. Restez concentré et tout ira bien. Rêver de l'élection présidentielle Voir une élection présidentielle dans un rêve a le sens d'une dispute pour le contrôle. Cela peut se produire en interne ou en externe dans la vie du rêveur. Le conflit interne a lieu dans le domaine de la personnalité. Donc, si vous avez fait ce genre de rêve, il y a de fortes chances que vous viviez une vie qui n'est pas la vôtre ou que vous agissiez comme quelqu'un que vous n'êtes pas. Le différend externe est lié aux relations personnelles et professionnelles. Vous essayez peut-être de démontrer votre valeur aux membres de votre famille ou essayez de faire en sorte que votre patron reconnaisse vos compétences au travail et vous en profite. En général, lorsque vous rêvez de l'élection présidentielle, il est indiqué que vous restez calme et ferme dans vos attitudes, en étant toujours quelqu'un de juste et amical. Ainsi, au bon moment et de manière naturelle, sa valeur sera perçue. Rêver de la tenue du président Rêver d'une tenue de président a deux significations très différentes. Le premier indique que vous êtes en sécurité et bien habillé, vous êtes donc loin de la vulnérabilité sociale. Le deuxième aspect de ce rêve vous avertit que vous avez beaucoup de problèmes non résolus. Il peut s'agir de relations qui se sont terminées brusquement, de relations de travail qui se sont soldées par une confusion entre la personne qui fait le rêve et le patron par exemple. Donc, si vous correspondez à la description du premier sens, dites simplement merci et passez à autre chose. Mais si vous vivez des situations similaires au deuxième exemple, essayez de vous concentrer sur la résolution des problèmes qui vous retiennent. Envisagez de pardonner ou de demander pardon si nécessaire. Rêver de président en débat Voir un certain président participer à un débat dans un rêve en dit long sur votre comportement envers les autres. Un président peut avoir de nombreuses caractéristiques, mais la principale est la diplomatie. Ainsi, pour arriver à une telle position, beaucoup de conversation et d'accords signés sont nécessaires. Donc, si vous rêviez d'un président dans un débat, analysez bien la façon dont il a traité et interagi avec les gens qui l'entourent. Si nécessaire, essayez de devenir quelqu'un de plus cordial. Rêver d'un président de mauvaise humeur Si le président qui est apparu dans votre rêve était en colère ou bouleversé, c'est le signe qu'une personne proche et hiérarchiquement supérieure est en colère contre vous. Il se peut que votre patron au travail soit jaloux de votre croissance dans l'organisation ou qu'un de vos parents soit triste de votre attitude, par exemple. Par conséquent, essayez de comprendre ce qui se passe à cet égard et résolvez le problème de la meilleure façon possible. Il n'est jamais bon d'alimenter les disputes ou les tensions.
Que faudra- t-il de plus aux responsables en poste, et aux gestionnaires de l’argent public pour revoir leurs copie que l’avalanche de reproches et de colère du président de la République, lors d’ouverture de la conférence nationale sur la relance industrielle. En dehors de l’importance des axes principaux de cette rencontre, qui s’articulent sur la recherche de vraies solutions pour asseoir de nouvelles bases pour la relance du secteur, le président de la République s’est attardé sur les causes profondes de cette situation, et sur l’existence d’une volonté avérée de briser l’élan d’un renouveau économique, au profit de la pérennité d’une gouvernance mafieuses assise sur les revenus hydrocarbures et sur le diktat sans nom, exercée sur l’administration, et sur les administrés, autrement dit les citoyens qui n’ont pas le privilège malsain dappartenir aux sphères du pouvoir de l’argent. Avec véhémence, il traitera de criminel les blocages de l’investissement par certains élus locaux affirmant que Certains ont dans l’idée qu’ils pourraient attenter à l’ordre et à la stabilité du pays, en tentant de maintenir le statu quo sur le plan économique et social, mais ils se trompent lourdement ». Devant l’acharnement des nostalgiques d’une Algérie chaotique, à maintenir l’anarchie et le désordre qui leurs servaient à puiser les ressources nécessaires pour assouvir leurs appétits voraces au gain facile, les vérités amères du président sont venus assurer à ceux qui s’opposent au changement, que leurs efforts seront vains, car leurs pratiques et leurs modes opératoires sont on ne peut plus connu et repérées comme manœuvres assassines, vomies par la société, qui ne croit plus a leurs procédures sournoises. C’est dans cette optique que le président de la République a insisté sur l’importance de donner corps et vie aux nouvelles dispositions mises en place justement pour lutter contre cette résistance à la transparence, tel que la Médiation de la République, l’inspection générale rattachée à la présidence, l’affectation de la gestion du foncier industriel à une agence qui sera nouvellement créée, et ce sans parler de l’intérêt majeur que porte le président à la prise en charge des préoccupations des citoyens. C’est donc, plus qu’un avertissement adressé aux ennemis de la nation, qui durant des décennies ont pris la société en otage, et ont tué dans l’œuf, les rêves et les espoirs de milliers d’algériens, les réduisant au rang de mineurs, dépourvus de toute forme de citoyenneté, et méprisés par des régimes despotique, dont la seule motivation n’est autre que compiler les richesses et les biens, pour rester toujours plus puissants. Il s’agit d’un message fort et clair aux citoyens, les exhortant à croire dans un changement naissant et profond, qui finira par la mobilisation, à impacter leurs quotidien, et à rompre avec une ère destructrice, qui a banni tous leurs droits. Sur un ton ferme et sans concession, la guerre est clairement déclarée aux lobbys, aux magnats de la corruption, et aux scribouillards qui se prennent pour des génies. Car il faut le dire, lorsque les politiques publiques et les solutions et aux grands problèmes du pays, ne sont pas appliqués sur le terrain, il ne sert à rien, d’entamer des réformes, ni de se déployer à l’extérieur du pays pour redresser l’ordre économique. Ce n’est que peine perdue.
Le Président de la République, SEM Alassane OUATTARA, a eu deux entretiens ce mardi 22 décembre 2015, au Palais de la Présidence de la République, successivement avec le Président du Groupe BNP Paribas, M. Jean LEMIERRE et le Président Directeur Général PDG du Groupe Banque Centrale Populaire du Maroc, M. Mohamed BENCHAABOUN. Au terme de de la première rencontre, le Président du Groupe BNP Paribas, M. Jean LEMIERRE a indiqué avoir eu une conversation en ’profondeur’’ avec le Chef de l’Etat sur plusieurs sujets, notamment sur la Côte d’Ivoire, les réformes qui y sont entreprises et la stabilité politique ; des points qui, selon lui, sont ’extrêmement importants pour l’activité économique’’ dans un pays. Il a ajouté que leurs échanges ont également porté sur les ’besoins’’ de la Côte d’Ivoire, en particulier dans les domaines des infrastructures, du financement du tissu économique des entreprises et des PME ainsi que de la bancarisation et de l’évolution en ’profondeur’’ du système bancaire. Tout ceci, a-t-il souligné, dans un contexte où la Côte d’Ivoire connaît une croissance importante qu’il faut ’soutenir financièrement et le Groupe BNP Paribas y est parfaitement engagé’’ et également une ’modernisation très importante’’ via la bancarisation et l’utilisation des NTIC. Il a précisé que le volume des prêts et donc de la constitution d’actifs pour le bilan du Groupe BNP Paribas, le volume de prêts octroyés par la BICICI en Côte d’Ivoire, ’ croît plus rapidement que le PNB ivoirien’’. Ce qui, à son avis, montre le ’soutien’’ que cette Banque apporte à la croissance économique ivoirienne. Par ailleurs, le Patron du Groupe BNP Paribas a révélé qu’au cours de l’entretien, le Président de la République a abordé la situation dans la sous- région ouest- africaine, notamment la croissance économique et la stabilité politique. Pour Jean LEMIERRE, en effet, ce sont également des ’éléments d’analyse importants’’ pour son Groupe, qui a aussi une activité en croissance et des engagements en Afrique de l’Ouest. Quant au PDG du Groupe Banque Centrale Populaire du Maroc, M. Mohamed BENCHAABOUN, il a dit avoir profité de sa rencontre avec le Président Alassane OUATTARA pour lui faire part du travail qui est fait par son Groupe ici en Côte d’Ivoire, en ce qui concerne, entre autres, l’accompagnement de la Banque Atlantique, mais aussi de grands projets de développement économique et social du pays. Il a ajouté avoir saisi cette occasion pour informer le Chef de l’Etat de l’ouverture, cet aprèsmidi, de la première Agence de Microfinance du Groupe, dans la Commune de Yopougon, à Abidjan. Ce qui, selon lui, est la ’concrétisation’’ d’un engagement que le Groupe Banque Centrale Populaire, a pris vis-à-vis de sa Majesté le Roi MOHAMED VI du Maroc et du Président de la République de Côte d’Ivoire, SEM Alassane OUATTARA, pour le lancement de cette activité de Microfinance dans ce pays, en s’appuyant sur ’l’expérience accumulée’’ par le Maroc dans ce domaine ces vingt dernières années. M. Mohamed BENCHAABOUN a ajouté que l’entretien avec le Chef de l’Etat a été également l’occasion pour eux de parler des activités ’annexes’’ qui sont développées par son Groupe dans le cadre de sa présence en Côte d’Ivoire et dans la région de l’UEMOA en général, aussi bien dans les domaines de la Banque que de l’Assurance. Tout en envisageant la possibilité d’ouvrir d’autres activités financières en Côte d’Ivoire et qui portent notamment sur des ’sociétés de financement’’, en particulier les crédits- bail activités de leasing au d’autres types d’activités qui sont gérées dans des sociétés de financement comme les crédits à la consommation. Pour terminer, le premier Responsable du Groupe Banque Centrale Populaire du Maroc a précisé avoir surtout ’insisté’’ sur la volonté de son Groupe ’d’accompagner’’ le Plan National de Développement de la Côte d’Ivoire sur la période 2016- 2020.
Dans dix jours se tiendra le premier tour de l’élection présidentielle dimanche 23 avril. Le rapport entre le rugby et cette campagne électorale ? Thibault Lassalle. Le deuxième ligne du Castres olympique n’est autre que le fils du candidat à l’élection présidentielle, Jean Lassalle. S’il suit cette campagne "de manière très sereine", le natif d’Oloron-Sainte-Marie avoue ce jeudi à nos confrères de La Dépêche du Midi que "quand on tient à quelqu’un, c’est parfois difficile ce qu’on peut lire et entendre et ce qui peut être dit sur lui." Mais le joueur de 29 ans est habitué aux campagnes de son père. "Il en a eu d’autres par le passé, plus difficiles pour nous ses proches", concède-t-il. " Je n'en parle pas si on ne m'en parle pas " Pour autant, l’ancien Toulonnais regarde avec attention l'actualité du candidat béarnais, toujours avec un oeil avisé. "Je suis assez critique avec lui. Mais il aime bien m’appeler pour avoir mon avis et échanger." Alors, pas question de rater le grand débat avec les dix autres candidats à l’Élysée. Thibault Lassalle avoue avoir été "très stressé pour lui. Je savais qu’il resterait à sa place. Qu’il ne serait pas agressif vis-à-vis des autres candidats." Thibault Lassalle Castres - août 2016Icon Sport Bien qu’au soutien de sa figure paternelle, il n’en n’est pas pour autant le porte parole. "Je ne pourrais pas dire à quelqu’un de voter pour mon père. J’aurais trop peur de mettre les gens mal à l’aise." D’ailleurs, le joueur reste très discret à ce sujet et ne déroge pas à une règle "Je n’en parle jamais si on ne m’en parle pas. J’ai toujours adopté cette ligne de conduite." Quant à l’idée d’être le fils du Président de la République ? Thibault Lassalle assure que "cela ne fait pas du tout rêver franchement." Mais qu'il serait "fier de lui."
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